MELAMEDIC® : Gamme de Lunettes de sommeil (Blue Blocker)

Ils nous permettent de voir les beautés du monde dans lequel nous vivons, de nous déplacer sans difficulté, d’avoir une vie sociale … Dès que leur performance s’amenuise, les handicaps s’annoncent : mauvaise vision, difficulté de conduire sa voiture, perte de la vision des couleurs et du relief. Les yeux ne servent pas qu’à voir, ils sont l’interface entre la lumière naturelle et artificielle et notre cerveau, plus spécialement la glande pinéale qui régule notre cycle : veille/sommeil. En fait une seule composante de la lumière est utile : la bande de couleur bleue du spectre lumineux (540 nm). Celle-ci filtrée par les cellules ganglionnaires de l’œil (à côté des cônes et des bâtonnets) est transmise à la glande pinéale ou épiphyse par le nerf optique. Cette lumière bleue a pour effet de stopper la production de la mélatonine (notre hormone du sommeil) et de laisser la sérotonine (l’hormone de l’énergie) réguler notre journée. C’est la baisse de la luminosité qui libère en soirée (à partir de 19-20 heures) la montée de la production de la mélatonine et nous entraine vers le sommeil ; ce cycle fonctionne parfaitement pour l’ensemble des êtres vivants depuis la nuit des temps.

C’est l’avènement de l’ère industrielle et de ses technologies qui ont tout bouleversé :

 

Les nouvelles technologies Télévision à écran plat, tablettes numériques, consoles de jeux, téléphones cellulaires avec écran sont un véritable problème. Leur usage intensif en soirée, au-delà de 30 minutes par jour induit un décalage de notre aptitude à nous endormir et notre horloge biologique s’en trouve décalée. Impossible de trouver le sommeil, insomnies, réveils intempestifs, sommeil perturbé entrecoupé de micro-réveils et non réparateur. Nous nous réveillons fatigué et la dette de sommeil va s’accumuler de jour en jour. On s’endort à son poste de travail, au volant de sa voiture, on a des problèmes de concentration et de mémorisation. Rien ne va plus !!! Selon une étude de chercheurs américains –cf American Journal (1)-, le problème est important pour la jeune génération. Plus ils passent de temps devant les écrans et plus leurs résultats scolaires sont mauvais. A partir de 30 minutes, baisse régulière des résultats scolaires, plus prononcés au bout de 2 heures et chute d’une classe au-delà de 4 heures.

Ces chiffres s’expliquent par la difficulté des enfants à trouver le sommeil, supérieur à 20 minutes pour ceux qui passent 4 heures par jour devant les écrans.